Chers compatriotes et amis,
Nous vous annonçons la tenue à Paris le samedi 6 décembre de la première plénière des préparatifs du forum de la diaspora centrafricaine dans les locaux de la société Agro-form au 203 rue de Lafayette dans le 10ème arrondissement (métro Louis Blanc ou Gare du Nord). Cette rencontre permettra la mise en place du bureau de coordination de la diaspora après l’élection des rapporteurs des commissions thématiques des actions à mener au pays et qui ont fait l’objet de communication dans nos interventions antérieures.
Les compatriotes sont invités à s’inscrire dans les commissions en fonction de leurs domaines de prédilection.
Vu l’engouement que ce forum suscite auprès de notre communauté et au-delà auprès de nos amis qu’ils soient des diasporas africaines ou des pays amis, nous prenons le temps pour une bonne préparation afin de garantir sa réussite.
L’organisation «Diaspora de l’émergence centrafricaine » comme expliqué dans nos communications précédentes est ouverte à tous ceux (membres de la diaspora à travers le monde, partis politiques, associations, société civile, et amis étrangers) qui œuvrent et soutiennent l’implication la communauté centrafricaine expatriée dans le développement du pays à travers des projets et actions de recherche de la paix sans considération de race et de religion.
C’est une tâche qui incombe à nous tous, chacun en fonction de ses moyens. Ainsi, nous exprimons nos félicitations à nos compatriotes Ester et Juvénal qui malgré leurs occupations, ont pu concevoir et mettre à notre disposition un site dédié à nos échanges.
Ce site permet de s’inscrire et d’échanger commissions avant notre rencontre en plénière au cours de laquelle les rapporteurs des commissions seront élus. Ceux qui aspirent à en être rapporteurs devront présenter outre leurs propres programmes pour les commissions qu’ils veulent diriger mais surtout avoir les aptitudes à faire preuve de synthèse tout en restituant fidèlement les contributions reçues.
Ces contributions après analyses et débats en comité feront l’objet de recueils qui présenteront les apports de la diaspora à travers leurs acquis et expériences à mettre au service de notre pays en termes de recherche de la paix et de bonne gouvernance et au-delà accompagner le gouvernement de transition et ceux à venir dans des projets structurants dans divers domaines où notre expertise et savoir-faire seront de mise.
Les commissions proposées à l’heure actuelle sont au nombre de 15. Leurs présentations faites dans nos publications antérieures sont accessibles sur le site de la diaspora (www.centrafrique-emergence.com). Ces 15 commissions se déclinent comme suit:
1 Commission politique et réconciliation
2 Commission désarmement
3 Commission recherche de financement
4 Commission relations avec les institutions politiques et organisations internationales.
5 Commission cité et réseau des élus
6 Commission entreprises
7 Commission santé
8 Commission sociale
9 Commission éducation et formation professionnelle
10 Culture et sport,
11 Organisation de la diaspora
12 Commission bâtiments travaux publics et logement
13 Commission bâtiments travaux publics et logement
14 Commission mines et organisation du secteur minier
15 Commission nouvelles technologies
Après échange avec certains membres de la communauté, nous avons ajouté la formation professionnelle à la commission éducation car il existe un fort besoin dans ce domaine. Tous les grands projets que la diaspora peut susciter et pouvant obtenir des financements s’adressent en priorité à un grand public ; que ce soient les ex combattants qui reviennent à la vie civile, l’organisation de l’économie informelle à travers divers métiers ou encore l’exercice des petits commerces.
Des stages d’initiation à la gestion seront organisés à l’endroit des créateurs d’entreprises surtout pour des projets à fortes intensités de main d’œuvre bénéficiant des financements. Le Centre Agréé de Gestion sera un outil d’accompagnement pour la mise en œuvre des politiques d’organisation de l’économie informelle car il existe une corrélation entre la formation, le suivi d’un projet dans un cadre institutionnel et la réussite de ce projet.
Notre sœur Jeannette MAYANGA qui a une bonne expertise en matière d’OPCA (organisme paritaire collecteur agréé), qui collecte les contributions financières des entreprises pour financer la formation professionnelle nous fera bénéficier de son savoir-faire dans ce domaine ainsi que d’autres compatriotes qui ont d’expérience en matière de formation professionnelle.
Partant de cet exemple de la France, nous pouvons rechercher des sources de financement adapté pour notre pays en matière de formation professionnelle dans le cadre des mesures de suivi du pays dans un contexte post-conflit.
Nous avons après échange en comité préparatoire de la première plénière ajouté d’autres commissions à celles déjà présentées dans nos messages antérieurs. Il s’agit des commissions bâtiments travaux publics, logements et commission agriculture pêche et élevage, mines et organisation du secteur minier et nouvelles technologies.
La commission bâtiments travaux publics et logement doit inspirer la diaspora dans les métiers liés aux bâtiments et travaux publics mais surtout dans le domaine des logements où il existe un fort besoin en matière d’habitats sociaux. Nous attendons les propositions de notre compatriote Raymond BOMONGO qui s’y connait très bien dans ce secteur sans exclure celles venant d’autres personnes qui peuvent nous aider dans ce domaine.
Certaines diasporas africaines dont nous pouvons suivre l’exemple ont créé des ONG bénéficiant de divers concours pour lever des projets immobiliers dans leurs pays et ainsi faciliter l’accès au logement.
Les centrafricains de la diaspora sont confrontés au problème d’acquisition de biens immobiliers, ce qui empêche bons nombre d’entre eux d'investir en Centrafrique ou de rentrer au pays.
La commission « agriculture pêche et élevage » peut être une des commissions phares des apports de la diaspora en matière de recherches d’idées dans le domaine de l’agriculture pour assurer pleinement l’autosuffisance alimentaire et pourquoi pas produire des fruits destinés à l’exportation comme le font bon nombre de pays africains comme le Cameroun, la Cote d’ivoire, le Mali etc.
La Centrafrique a une terre très fertile ; en fonction des monographies des régions on peut diversifier des cultures soit pour la consommation locale, soit pour l’exportation.
Pour ce qui concerne l’élevage l’objectif visé par certains membres de la diaspora est de chercher les voies et moyens pour amener nos frères de la communauté peulh à reprendre pleinement leur activité traditionnelle qui est l’élevage et abandonner la voie des armes pour certains qui se sont perdus de repère.
Notre organisation, qui s’adresse à tous les centrafricains de l’extérieurs a en son sein des frères musulmans de la communauté peulh qui souhaitent apporter leur savoir-faire à la relance des activités de l’élevage et aussi de la commercialisation tant en Centrafrique que vers certains pays de la sous-région où la marché est porteur.
La pêche peut donner lieu à diverses idées comme par exemple la pisciculture autour de Bangui, la conservation de poisson dans de camions frigorifiques ou le séchage des poissons pour l’exportation etc.
La commission « mines et organisation du secteur minier » permet de réfléchir à ce qui peut être fait dans ce domaine vu l’importance de cette activité dans l’économie centrafricaine. Une bonne partie de ce secteur est contrôlée actuellement par les belligérants qu’ils soient anti-balaka ou seleka. La persistance de la crise s’explique aussi par la main mise sur ce qu’on peut appeler butin de guerre à travers à un commerce illicite des pierres précieuses ce qui a valu à notre pays d’être exclu du processus de Kimberley actuellement.
En attendant la levée de la sanction, la diaspora peut proposer d’ores et déjà comme mesure d’accompagnement des politiques de DDR l’organisation de ce secteur en coopératives ou sociétés minières bénéficiant d’un suivi à travers les Centres de Gestion Agréés pour garantir leurs pérennités offrant ainsi d’emplois à un grand nombre de belligérants qui reviennent à la vie civile.
Des stages de créateurs d’entreprises comme dans bon nombre de pans de l’économie centrafricaine seront organisés pour détecter des porteurs de projets pouvant bénéficier des financements. L’Etat outre l’octroi des licences d’exploitation lié à des conditionnalités comme par exemple l’adhésion à un Centre de Gestion aidera avec l’appui de la communauté internationale les recherches de financement dans le contexte actuel de suivi post conflit du pays où il y a des programmes prévus à cet effet.
La commission « nouvelles technologies » dont certains dans notre comité de préparation de la plénière ont demandé ardemment sa mise en place, permettra à la diaspora d’apporter son expertise dans ce domaine riche en idées au service du pays. Nous demandons dores et déjà à ceux qui peuvent apporter leurs contributions à cette commission de se manifester auprès du comité de préparation de la plénière du 6 décembre à Paris.
La commission sociale devant réfléchir et proposer plusieurs projets pour recoudre le tissu social du pays objet déjà de divers maux et aggravés plus encore par les effets des différentes guerres aura une sous-commission dédiée aux victimes des guerres.
Le pardon, la réconciliation ne peuvent ignorer ceux qui ont vécu dans leurs chairs qu’ils soient chrétiens ou musulmans les conséquences des tragédies que notre pays a connues. Comme nous confiait il y a peu notre compatriote Nicaise BOMONGO le Président de leur association, ces personnes n’ont pas besoin forcement d’une réparation pécuniaire, elles ont besoin seulement d’une tribune pour parler, qu’on les écoute, leur vœu est de voir notre pays tourner définitivement la page de ce sombre passé. Le dialogue inclusif à venir s’attellera certainement à cela.
Il est évident que tous les projets suscités par la diaspora ne peuvent être réalisés du jour au lendemain. Les échanges avec les pouvoirs publics et le secteur privé permettent d’envisager un calendrier progressif de leurs réalisations en fonction des priorités et moyens.
Seule une volonté politique avérée permet de chercher les voies et moyens pour atteindre les objectifs visés. Le soutien des instances de transition à notre démarche actuelle sera une indication des actes à poser pour un raffermissement des relations avec la diaspora dans la gestion future du pays.
Présentation de I ‘organisation à mettre en place dans le cadre des préparatifs du forum.
La plénière du samedi 6 décembre se déroulera au 203 de la rue de la Lafayette dans une salle de réunion que la société « Agro-form » a mis à notre disposition.
Le programme de la réunion peut être consulté sur le site de (www.centrafrique-emergence.com).
L’objectif visé par la diaspora de l’émergence centrafricaine dont les statuts en préparation seront débattus et arrêtés dans le cadre de la plénière de la préparation du forum est d’amarrer la communauté centrafricaine expatriée au pays à travers des projets et idées pour une bonne gouvernance associée à la recherche de la paix.
Ainsi les projets sur la base de nos thématiques visent à :
- créer une base de données sur les compétences des professionnels issus de la diaspora;
- former un corps de bénévoles de la diaspora pour répondre aux besoins du pays dans le domaine de la santé; de l’éducation, de la formation professionnelle etc.
- prospecter avec le gouvernement et divers canaux que la diaspora peut mobiliser, les sources de financement pour les projets auprès des institutions spécialisées d’aide aux projets des diasporas de la Banque mondiale, de l’Union européenne, de l’Union africaine etc.
- instaurer chaque année une foire de développement de la diaspora couplée avec une semaine culturelle et sportive dont les modalités feront l’objet de nos échanges.
Nous serons jugés (les acteurs politiques aux pays et la diaspora) par notre volonté de transcender nos clivages quel qu’ils soient à montrer l’exemple d’un pays bien que soutenu par la communauté internationale veut se donner les moyens avec sa diaspora de chercher des voies et moyens à la résolution de ses difficultés et ainsi engager le pays vers un décollage économique gage de stabilité durable.
Organisation des travaux dans les commissions.
15 commissions sont prévues actuellement : Les commissions proposées à titre indicatif feront l’objet de débats en plénière en vue de les élargir ou pas à d’autres thèmes ou réduire leur nombre pour plus d’efficacité dans les actions à mener.
Dans tous les cas, la démarche de réalisation des projets au pays ne pourra se faire qu’en coordination avec le gouvernement et le secteur privé surtout pour éviter des effets pervers liés aux incitations à accorder aux investissements de la diaspora.
Il sera alors étudier les domaines prioritaires des secteurs d’activité où l’expertise de la diaspora sera sollicitée et les moyens à mettre en œuvre pour les atteindre, qu’ils viennent de la diaspora elle-même ou ils sont à rechercher ailleurs.
Le site de la diaspora de l’émergence (www.centrafrique-emergence.com) permet de voir les objectifs assignés à chaque commission afin de permettre les inscriptions en fonction du domaine de prédilection de chacun.
Désignation des rapporteurs.
Il sera désigné par voie d’élection un ou deux rapporteurs pour chaque commission en fonction de leur importance. Chaque candidat au poste de rapporteur outre qu’il doit montrer sa vision pour la commission souhaitée mais doit également démontrer son aptitude à faire la synthèse des contributions reçues lors des échanges.
Mise en place d’un comité de pilotage
Les contributions reçues seront analysées par un comité de pilotage qui réunit tous les rapporteurs des commissions. Que ce soient les échanges et contributions reçus lors des débats publics ou par voie d’internet, les rapporteurs des commissions en font la synthèse pour être analysés par le comité de pilotage. Les propositions retenues feront l’objet de recueils dont la compilation au titre de chaque commission sera adressée plus tard aux Etats et institutions qui œuvrent pour la recherche de la paix en Centrafrique.
En fonction des besoins exprimés dans nos cahiers de charges, il sera sollicité un soutien multiforme de nos partenaires en vue de leur réalisation.
Sachant que dans certains cas, le soutien à demander n’est pas obligatoirement financier, une volonté politique peut suffire comme par exemple dans le cas des textes incitatifs pour les investissements de la diaspora.
L’Etat en abaissant les impositions sur une période ponctuelle, élargit non seulement l’assiette fiscale, mais aussi les effets induits par les projets en matière de créations d’emplois et de richesse sont gages de stabilité dans le contexte que traverse notre pays.
Beaucoup de pays qui ont connu de guerre se sont reconstruits avec les apports de leurs diasporas. Et cela grâce à des incitations, le Rwanda en est un exemple parmi tant d’autres.
Le comité de pilotage est dirigé par un ou deux coordonnateurs, un principal et un second qui l’assiste ou le remplace en cas d’empêchement ou absence. Ces postes sont également soumis à élection comme pour les rapporteurs des commissions ; les candidats à ces postes présentent leurs programmes dans les mêmes conditions que pour les cas déjà précités.
Les réunions en plénière feront l’objet de synthèse par un rapporteur général et publiées sur le site de la diaspora pour l’information du public.
Le secrétaire général du comité de pilotage aura pour rôle outre d’assurer la synthèse des réunions du comité, mais de jouer le rôle de modérateur des réunions tant en interne qu’en plénière.
Mise en place d’une Haute autorité de la diaspora de l’émergence centrafricaine
Comme dans toute entité les divergences de vue ne peuvent manquer. Cela s’explique par la vitalité des débats qui peuvent les enrichir ou dans certains cas, constituer d’effets bloquants de nature à paralyser la bonne marche de notre association.
Vu des expériences vécues par le passé, le Comité de pilotage soumettra à l’arbitrage d’une haute autorité de la diaspora quand les situations l’exigent des divergences de vue qu’il n’a pu résoudre directement en son sein.
Cette haute autorité composée d’un nombre limité de membre 5 approximativement aura pour rôle d’arbitrer et proposer de solutions devant garantir un bon fonctionnement du comité en respect du cahier de charges des objectifs fixés dans le cadre de la préparation du forum.
Les membres de la haute autorité peuvent soit faire preuve de candidature directement ou être cooptés par le comité de pilotage en fonction de leurs capacités d’écoute, de management et de leurs rôles politiques passés au pays ou leurs apports à la diaspora transcendant les clivages quel qu’ils soient.
L’appartenance à la haute autorité comme pour les autres postes du comité de pilotage outre les critères définis précédemment s’adresse à tous les membres de la diaspora qui le souhaitent, aux partis politiques, aux associations et à la société civile sans toutes autres considérations.
Nos frères des diasporas africaines qui nous aident actuellement dans la recherche des solutions aux maux de notre pays, peuvent faire partie des commissions pour ceux qui le souhaitent et ainsi nous faire bénéficier de leur expertise dans différents domaines.
Bon nombre de nos compatriotes à travers le monde souhaitent prendre part à la réunion préparatoire du forum qui se tiendra à Paris à la fin de ce mois, réunion au cours de laquelle seront désignés les rapporteurs des commissions.
Etant en bute aux tracasseries de visas, nous leurs conseillons d’envoyer leurs contributions directement sur le site dédié au forum en fonction des commissions qui correspondent à leurs choix.
Le comité de pilotage par la suite après les tournées en France en fonction des possibilités se rendra dans certains pays où les diasporas sont organisées en comités régionaux pour échanger et recueillir les avis des compatriotes en prélude au forum qui se tiendra en 2015 au pays.
Nous souhaitons une forte mobilisation de la diaspora pour la première plénière qui sera organisée le 6 décembre à Paris, au 203 de la rue Lafayette métro Gare du nord ou Lois blanc.
Nous convions à cette manifestation les représentants en France de la classe politique du pays, le secteur privé à travers les organisations patronales (l’UNPC et le GICA) sans oublier la société civile le CIONCA notamment qui aidera à la mise en place d’un point focal à Bangui dans le cadre des préparatifs actuels du forum.
L’objectif à terme est la mise en place effective d’une représentation de la diaspora à Bangui servant de bureau de liaison et dont les attributions seront débattues lors du forum.
Les associations centrafricaines en France sont sollicitées pour prêter leurs concours à la réussite de cette rencontre qui scellera notre unité dans la perspective du forum à venir au pays qui nécessite une forte mobilisation de notre part afin que notre message soit le plus audible possible auprès de nos partenaires comme auprès de notre gouvernement.
Notre invitation s’adresse particulièrement aux associations ci-après sans exclure celles qui ne sont pas citées. Il s’agit de :
Du Conseil des centrafricains de France, de Centrafrique expertise, des amis de Centrafrique, de l’association Touche pas à ma constitution, etc.
Pour l’équipe de la préparation du forum, cordialement Bertrand KEMBA
P.S. Pour une meilleure coordination afin de faciliter les échanges, il est souhaitable pour ceux qui le peuvent d’envoyer leurs contributions sur le site de (www.centrafrique-emergence.com) avant la plénière.
La journée de la réunion risquant d’être chargée en programme, les apports tardifs dans les thématiques pourront ne pas être examinés comme il se doit pour laisser plus de temps aux échanges et à l’élection des membres de la coordination des préparatifs du forum.
La réunion de la plénière débutera le 6 décembre à 9h30. La matinée sera consacrée à la validation du projet des statuts préparés par nos compatriotes William et Guy Aimé. Puis suivra l’examen des candidatures aux postes de Rapporteurs des commissions et de la coordination.
Après une pose consacrée à une collation sur place autour de 13h, l’après-midi sera consacré à l’élection des rapporteurs et coordonnateurs par la plénière.
S’en suivra la présentation du programme des actions à venir dont l’ultime phase sera la tenue du forum à Bangui avant les élections présidentielles et législatives afin de délivrer le message de la diaspora aux différents candidats et recevoir en retour leur engagement pour la paix et la bonne gouvernance à travers une chartre de la diaspora dédiée à cet effet qui servira de baromètre pour accompagner nos futurs dirigeants dans la gestion du pays.
Nous souhaitons une ponctualité aux participants à la réunion pour éviter de retard aux travaux vu le programme très chargé de la journée. Pour ceux qui viennent de loin, il y a un hôtel IBIS à moins de 10 m du lieu de la réunion dans la même rue.
Les villes où il existe de forte communauté centrafricaine et qui souhaitent organiser des réunions de la diaspora avec la participation du comité de pilotage du forum après sa mise en place doivent nous soumettre leurs demandes lors de la plénière du 6 décembre afin de permettre au comité d’étudier le calendrier des actions assez rapidement et de procéder à leurs mises en œuvre en fonction des moyens.