COMMUNIQUE DE PRESSE N°1
Madame YAMINA BENGUIGUI Ministre chargée de la francophonie a accordé une audience au quai d'Orsay à l'association Femmes de Centrafrique, debout!, le mardi 30 juillet 2013. La délégation était conduite par sa présidente, Madame Nicole PEHOUA.
Au cours de ce riche entretien, l'association a mis un accent particulier sur les multiples cas de viols et autres exactions dont sont victimes les femmes, les filles et les enfants et a déploré le risque de l'abandon de la République Centrafricaine par la communauté internationale.
L'association a exprimé la nécessité de voir la France s'impliquer davantage dans la recherche de la paix en République Centrafricaine. Madame la Ministre a annoncé qu'elle fera une intervention devant le Conseil de Sécurité des Nations Unies sur la République Centrafricaine au mois de septembre. Elle s'engage à répondre favorablement aux doléances exprimées par l'association et mettra tout en oeuvre pour qu'une aide humanitaire d'urgence en médicaments et en nourriture soit envoyée rapidement. Elle affirme que la France pèsera de tout son poids au renforcement de la capacité, notamment logistique, des troupes de l'Union Africaine qui vont être déployées.
L'association Femmes de Centrafrique, debout! se félicite de l'issue de cette audience.
Fait à Paris le 31 juillet 2013
La Présidente
Nicole PEHOUA
NDLR : Avant de recevoir cette association, Mme Yamina BENGUIGUI aurait dû se renseigner sur la crédibilité de ses dirigeantes. Elle aurait ainsi pu apprendre que l’une d’elles, en l’occurrence la présidente, a été il n’y a pas très longtemps, une pensionnaire de la prison de Fleury-Mérogis en région parisienne pour trafic d’enfants et autres délits de mœurs. C'est donc un repris de justice. Eh oui !
Par conséquent, elle n’est sans doute pas la personne la mieux indiquée pour se faire l’avocat des femmes et enfants centrafricains dans le contexte actuel en RCA où il faut bien le dire, il y a beaucoup d’intox et de contre-vérités distillés à dessein pour nuire à la crédibilité des nouvelles autorités de la Transition et que certains n’ont comme unique objectif que de faire parler d’eux par purs calculs politiciens en vue de positionnement sur l’échiquier politique national.