En voici, voilà ! Hier j’avais écrit et publié sur Centrafrique presse, plus précisément le 8 Juillet 2013 un texte :
«Etat Centrafricain en perdition, Misères Centrafricaines, nous sommes obligés d’en parlé ».
Mes chers compatriotes les manques des pragmatismes politiques à conduits l’échec de la transition. Cet échec n’est pas seulement au crédit du Président de la Transition Monsieur Michel Djotodia et le premier Ministre Nicolas Tiangaye.
Mais il faut dire à tous, toutes, avec force, ceux qui avaient ventés les compétences et l’intégrité du chef de Gouvernement de la transition sans mesurer les enjeux qui se profilaient de l’époque Monsieur BOZIZE malgré la mauvaise gouvernance de ce dernier, mais était dans un premier temps purement militaire, sécuritaire, ainsi atteinte chronique à l’ordre disciplinaire dans des différentes factions en rébellion dans notre Pays avec les risques, désastres que nous connaissons aujourd’hui. Orchestrés les combinaisons imaginables et égoïstes sur les souffrances des Centrafricains (es) les acteurs Centrafricaines « Libre Ville II ». Qui continuent de se dire homme politique, devraient se poser tellement des questions en ce moment de cet échec confondu !
Peuple Centrafricains(es) :
Nous avons été humiliés sur les récentes événements, qui ont occasionnés la démission des deux têtes exécutives à N’Djaména, a la personne de : Monsieur Michel Djotodia et le premier Ministre Nicolas Tiangaye, occasionnent au passage le déplacement de tout un conseil de transition (CNT) d’un Pays Souverain !? À croire que nous sommes une préfecture de Tchad. Simplement et purement par la faute de soit disant des Politiciens, supposés des hommes responsables et intègres !?
A peine constaté cet échec !
Les communiqués de dupe commencent ! Alors que :
Nous avons un enjeu essentiel celui de réussir la Paix en Centrafricain, surtout sur les différentes couches sociales afin de relevé notre Pays.
Dans un premier tant, réinitialisé la confiance entre les branches armées en perdition ! ( Faca, Ex-séléka, anti BALAKA), remettre de l'ordre disciplinaire et la reconstruction de l'armée et la sécurisation de notre Pays ! Remettre l'administration en marche ! Pour un nouvel ordre constitutionnel.
Peuple Centrafricain, il nous faut un homme ayant un profile transversal capable de rétablir la confiance dans les différentes antagonistes.
Lyon le 12/01/2014
Monsieur Aubin-Roger KOMOTO